Dans son oeuvre, Julião Sarmento (1948, Lisbonne) joue avec le fragmentaire : les personnages qu’il représente ne semblent pas terminés, comme si quelque chose manquait ou avait été effacé. Il explore les thèmes de la sensualité, du voyeurisme et de la transgression. Comme beaucoup d’artistes de Le Radeau. L’art est/n’est pas solitaire, il recherche explicitement les limites des moyens de communication. Pour l’exposition, Sarmento crée une nouvelle oeuvre aux dimensions toutes aussi impressionnantes comme celles du Radeau de la Méduse de Géricault.
Nada, 2017

JULIAO SARMENTO
Romestraat 11, 8400 Oostende