Pour l’artiste espagnol Carlos Aires (1974, Ronda), chaque récit officiel cache une autre vérité. Il remet en question les stéréotypes et souligne l’ambiguïté des images. Pour cette oeuvre, il a récupéré dans le port andalou de Cadix d’immenses morceaux de bois de bateaux échoués utilisés pour l’immigration clandestine. Il en a ensuite fait un parquet, qui rappelle tous les voyages antérieurs.
Mar Negro, 2013

CARLOS AIRES
Albert I-promenade 75, 8400 Oostende